Un article de fond ! La « violence masculine » fondement de la virilité peut s’analyser comme une construction sociale et culturelle, voire « cultuelle » de société androcentrées avec un fondement misogyne.
Cette violence est d’abord apprise par le langage et le bain de double contrainte dans lequel sont placé-e-s les adolescent-e-s
Les opposés Maitrise de soi, calme- sérénité et exaltation des comportement guerrier, le rappel à un « ordre naturel mythique » et la nécessité de culture créent les tensions nécessaires à l’apparition du refoulé, et de la violence comme mythe et fantasmes (dichotomie entre le permis et l’interdit, le désirable et le souhaitable….)
Comme le fait remarquer l’auteure, des communautés culturelles se sont baties sur d’autres modèles et ont d’ailleurs étaient combattus par les tenant-e-s et tenant de l’État de fait du/de la plus fort-e . Le nazisme est à cet égard un exemple saisissant des monstruosités que peut produire ce type d’idéologie.